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Bernard Organini a commenté :
Pas facile d’y voir clair dans tout ça. Construire un ensemble immobilier, c’est construire un quartier, c’est construire un monde. Et ça ne se résume pas à fabriquer des tours de béton (même pas correctement d’après l’article et l’action en Justice). Avoir comme Nexity (et d’autres) l’assise financière et le savoir faire de bétonneur ne qualifie pas pour penser la cohabitation durable d’un groupe d’humains dans ces murs et ces rues. Ces géants de l’immobilier sont des apprentis sorciers qui profitent d’un travail préalable des pouvoirs publics (d’expropriations et de rachats par préemption), rasent tout et égalisent à grand renfort de tractopelle et bulldozer, montent leurs légos de béton puis disparaissent : débrouillez vous pour vivre dans ce cauchemar neuf et propre ! Le vivre ensemble, rebaptisé « mixité sociale programmée » ne se décrète pas : c’est un travail long et éprouvant fait de méfiances surmontées, de discriminations combattues, de nuisances dénoncées. Il semble que les acteurs publics (y compris « de gauche ») soient très timorés face aux promoteurs et aux bailleurs même « publics » et qu’il faille attendre des années d’abus pour que quelques habitants exaspérés, propriétaires et/ou locataires, se tournent vers la Justice. Ce qui ne garanti pas qu’ils aient gain de cause. J’avais participé à une ballade dans ces Docks libres il y a 2 ou 3 ans Nexity ou l’urbanisme de la fermeture au monde - Un centre ville pour tous
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